Si vous ne savez pas que Top Gear a sa déclinaison française sur RMC Découverte, c’est sans doute que vous vivez dans une grotte. Mais… la fête continue, y compris sur votre lieu de vacances cet été, que ça soit un transat sur une plage ou autre: il y a maintenant Top Gear Magazine.
Notre Top Gear Magazine n’a pas de lien avec l’émission télé française Top Gear: c’est la déclinaison française du Top Gear Magazine britannique, qui dérive de l’émission Top Gear de la BBC. Vous êtes toujours là ?
En l’occurence, déclinaison française est un terme parfaitement choisi: on a en main ni plus ni moins que l’exacte traduction française de la revue britannique. Ca n’est pas quelque chose qui nous séduit, mais il faut reconnaitre que le système a fait ses preuves: le magazine Evo a commencé comme cela aussi. Et tout comme Evo, Top Gear Magazine entend bien développer par la suite sa part 100% française.
Et puisqu’on parle des défauts: le magazine, son titre et son contenu sont d’un certain standing, et le prix de vente le confirme. Or, pour ce prix, on aurait apprécié un papier un peu plus haut de gamme. Enfin bon: d’une part ça ne gêne peut être que nous, qui avons un pied dans le métier, d’autre part c’est le genre de choses qui arrivent parfois avec un numéro 1. Et on nous a confirmé que le numéro 2 aura un papier plus flatteur.
Pas d’autre défaut. Car au fil des pages, on a oublié que les autos étaient immatriculées au Royaume Uni et avec des volants du mauvais côté. Car en réalité, les sujets étaient aussi intéressants que variés. Et arriver à nous intéresser est plutôt rare, puisque nous avons un pied dans le métier nous aussi ! Enfin, et c’est un point important: les textes contiennent une bonne d’humour. Apprendre en rigolant, sur un sujet que l’on aime en plus… Que demander de plus ? Longue vie à nos nouveaux confrères de Top Gear Magazine.
Texte : Manu Bordonado